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Depuis 2010 (année de création du Service civique), 374 000 missions de volontariats ont été réalisées dans le cadre du Service civique. Celles-ci ont pris place dans les domaines d’intervention suivants : le sport, la santé, la culture et les loisirs, l’éducation, l’environnement, la solidarité, l’intervention d'urgence, ainsi que la mémoire et la citoyenneté. Le cadre des missions réalisé par les jeunes volontaires répond à huit principes qui s'articulent autour de l’intérêt général, la citoyenneté, la mixité, l’accessibilité, la complémentarité, l’initiative, l’accompagnement bienveillant, ainsi que le respect du statut. La mise en place d’un statut de volontaire engagé du Service civique, a pour but de créer une société de l’engagement. Il doit permettre aux jeunes qui souhaitent agir pour les autres de le faire, facilitant ainsi l’engagement de la jeunesse dans toute sa diversité en offrant un cadre pour permettre la réalisation d’actions concrètes. Depuis 10 ans, la Ligue Sud Aviron accueille des jeunes volontaires dans ses structures d’accueil. Un agrément collectif a été mis en place pour tous les clubs d’aviron de la région ayant un employé expert, de manière à ce que ce dernier fasse office de tuteur. Cet accord a pour but de faciliter l’engagement d’un service civique par les clubs et d’ainsi rendre les offres de missions plus accessibles. De ce fait le jeune volontaire est d’un part actif dans le club auquel il est rattaché, mais également auprès de la ligue d’aviron. La ligue rassemble en effet les services civiques sur quelques compétitions annuelles, de manière à ce que ceux-ci contribuent à l’organisation de ces manifestations, et tissent par la même occasion un réseau entre jeunes engagés. Les missions proposées prennent place dans le cadre de l’aide au développement de l’aviron indoor, de l’aviron santé ainsi que de l’aviron social. Celles-ci se déroulent au quotidien dans les clubs, à travers diverses activités, comme l’organisation d’animations pour le grand public, le développement de la communication, et plus souvent comme soutien à l’encadrement sur les entraînements etc. À l’image de cela, le Cercle de l’Aviron de Marseille, (structure qui reçoit 2 à 3 services civiques par an), œuvre avec les jeunes volontaires autour d’un projet Santé & Nutrition chez les jeunes dans le cadre du pôle santé. Le développement de la stratégie de communication du club fait également partie intégrante des missions réalisées, avec notamment l’administration de ses réseaux sociaux. La mission est précédée par une phase de préparation, avec entre autres une formation civique et citoyenne. Au cours de l’année il est également demandé aux services civiques de suivre une formation fédérale, comme le niveau 1 de l’Initiateur Aviron en eaux intérieures, en mer, ou en aviron indoor. Un accompagnement personnalisé est mis en place par chaque tuteur (un professionnel de la structure d’accueil), qui à travers un suivi et des entretiens réguliers va être d’un soutien particulier pour mener à bien la mission, mais également pour définir ensemble un projet d’avenir, ainsi que la réalisation d’un bilan final. Le jeune reçoit pour son investissement une indemnité mensuelle versée par l’Agence nationale du Service Civique et pourra dans le cadre d’un cursus universitaire, revaloriser les connaissances, aptitudes et compétences acquises lors de la mission réalisée. Le rôle du jeune volontaire n’est ni celui d’un salarié, ni celui d’un bénévole. Il réalise des tâches complémentaires à celles confiées aux salariés, tout en ayant une relation de collaboration avec ce dernier. Le cadre donné par l’employé expert permet au jeune de réaliser ses tâches, tout en bénéficiant d’aide si le besoin se présente. Il dispose également de l’aide de bénévoles expérimentés, qui peuvent prodiguer de précieux conseils. Dans le domaine sportif, en particulier l’aviron, l’objectif du service civique est d’une part de promouvoir le rôle des bénévoles, ainsi que de mettre en lumière la transition possible de la fonction de bénévole à employé d’une association. En effet en 10 ans d’activités, environ une dizaine de jeunes, ont au moins temporairement travaillé comme professionnel dans un club, suite à la réalisation d’une mission de service civique. D’autre part il est également un vecteur d’intégration, pour permettre à des jeunes étudiants de garder contact avec l’aviron tout en les sensibilisant au côté professionnel d’une association. C’est le cas d’Eva Verherbruggen : « Après deux ans de bénévolat au Cercle de l’Aviron de Marseille, j’ai souhaité m’engager davantage. J’ai donc fait le choix de réaliser un service civique, ce qui m’a permis d’obtenir plus de responsabilités ». « Durant ma mission, j’ai acquis beaucoup de connaissances dans différents domaines, comme la pédagogie (accueil d’enfants, accompagnement des sportifs lors de stages ou compétitions) mais aussi sur l’organisation d’une association (j’ai participé à des commissions sportives par exemple). En collaboration avec des entraîneurs qualifiés, j’ai obtenu mon permis bateau, ainsi que le brevet d’initiateur aviron. Il s’agissait d’une première expérience professionnelle pour moi, durant laquelle j’ai appris à m’organiser, en jonglant entre mon rôle de jeune volontaire et d’élève au lycée. Cette mission m’a beaucoup plu, à la suite de cela je me suis de nouveau engagée en tant que bénévole à part entière cette année ». Julie LEVESY, Service civique de communication (Ligue Aviron Région Sud) Fondé en 1910, le Rowing Club de Marseille se situe au cœur de la ville phocéenne. L’aviron s’y pratique dans trois zones différentes : le Vieux-Port, port de plaisance et centre culturel et historique de la ville ; le Port Autonome, extension du Vieux-Port à caractère industriel et commercial (les bateaux d’aviron étant les seuls utilisateurs non motorisés) ; ainsi que la rade de Marseille. La structure évolue dans un cadre qui est d’une part propice à la pratique de l’aviron de mer, et d’autre part à l’aviron de rivière. Par conséquent, la base nautique accueille différents publics, allant d’un public loisir, représentant 2/3 des licences annuelles, à la pratique en compétition. Membre, puis président de la commission sportive en 2016-2017, Rémy Taranto occupe depuis 2018 le rôle de président au sein du Rowing Club de Marseille et prend de cette manière la suite d’Éric Notin, qui a présidé le club pendant près de 15 ans. « Depuis quelques années, nous avons fait le choix de privilégier la qualité de l’encadrement, réduisant ainsi le nombre de compétiteurs. Le hangar étant vieillissant, il était important de renouveler la flotte de bateaux, afin de conserver une dynamique de performance. » raconte Rémy Taranto. À ce jour, l’association compte deux salariés en contrat d’apprentissage : Stéphane Dutilleul en DEJEPS Haltérophilie et Guillaume BLANC en DEJEPS Aviron. Quant à l’encadrement des compétiteurs, d’anciens entraîneurs viennent régulièrement former et apporter leur expertise aux plus jeunes, à titre bénévole. En ce qui concerne le bénévolat, le comité directeur du RCM est composé à 100% de bénévoles, avec notamment Frédérique Boisseau, secrétaire générale très investie. Le club peut également compter sur des adhérents à la retraite, pour s’occuper de l’entretien du matériel. Le RCM est un club formateur et propose donc des formations pour obtenir le diplôme d’initiateur d’aviron de mer. De plus tous les samedis de 10h à 12h le club accueille sans rendez-vous et gratuitement des personnes débutantes pour venir essayer l’aviron. À travers divers dispositifs il est également possible de permettre une continuité scolaire avec l’aviron (section sportive au collège, option bac au lycée, aviron universitaire). Le Rowing Club de Marseille organise plusieurs manifestations tout au long de l’année. En effet en 1927, se tient pour la première fois une manifestation emblématique : la Coupe de Noël, régate opposants deux à trois équipages sur une distance de 600m dans le Vieux-Port, le temps d’une après-midi. En revanche, cette régate n’est plus organisable depuis quelques années, car il est impossible de bloquer la circulation dans ce port de plaisance. Par conséquent, il est organisé en fin d’année un évènement regroupant tous les membres du club, lors d’un relais intergénérationnel sur l’ergomètre. De plus, se tient depuis 17 ans, chaque année au mois de septembre la Randonnée de la Bonne Mer’e. Le parcours s’effectue dans la rade de Marseille, avec un départ dans le Vieux Port, direction le Château d’If, puis sur la route des Goudes en direction de la Baie des Singes. Le retour s’effectue en suivant la Corniche, de la Pointe Rouge, longeant le Vallon des Auffes et la plage des Catalans. Cette régate regroupe chaque année une cinquantaine de rameurs, provenant d’une dizaine de clubs français. Bénéficiant également d’un cadre magnifique, se déroule depuis 3 ans au mois de mai, la Régate du Château d’If, régate mer labellisée FFA et Euro-Mediterranée 2022. La structure regroupe en 2021, 271 licenciés (année post-covid). Afin d’assurer le bon fonctionnement de l’association avec un objectif de performance, le club s’est donné comme ordre de grandeur un effectif de 250 à 300 licenciés. Malgré certaines difficultés rencontrées, comme le recrutement de nouveaux bénévoles ou de salariés, l’association forme ses rameurs à travers la pratique d’aviron de rivière, servant de base pour poursuivre à mettre des athlètes en équipe de France ainsi qu’à ramener des médailles sur les différents championnats. Depuis sa création, celui-ci a vu passer parmi ces membres des médaillés nationaux, internationaux, olympiques et paralympiques, mais également la flamme olympique. Dans les années 70, il faisait partie des meilleurs clubs féminins français. Depuis que le RCM a terminé 1er club français en aviron de mer à cinq reprises, il se situe parmi les meilleurs clubs chaque année. L’association souhaite développer le Beach Rowing, qui est une discipline en plein essor. En effet en 2021, trois jeunes rameurs du club marseillais ont participé aux mondiaux dans cette discipline. De plus, se développe depuis plusieurs années la pratique de sport et handicap. Le club compte parmi ses rameurs, Nathalie Benoît, multiple médaillée mondiale, vice-championne olympique en skiff aux JO de Londres (2012) et médaillée de bronze aux JO de Tokyo (2021), ainsi que Rémy Taranto, président de l’association, médaillé aux championnats du monde d’aviron en quatre mixte, ainsi qu’aux JO de Tokyo en 2021 (3ème). En un mot, le Rowing Club de Marseille est en constante évolution, afin de fournir une prestation de qualité auprès de ses membres et d’avoir le plus de renouvellement chaque année. Julie LEVESY, service civique auprès de la ligue sud Les clubs de la Région Sud se sont donné rendez-vous sur l’ergomètre ce week-end afin d’évaluer l’état de forme de chacun et le travail réalisé depuis le début de la saison hivernale. Cet évènement s’inscrit dans l’évaluation fédérale pour les plus grands, et dans l’offre jeune pour les J12 à J14. Ce week-end a donc eu lieu d’un part le Monaco Rowing Indoor Championship à Monaco (samedi 3 décembre), et d’autre part le Championnat Régional Indoor à Manosque (dimanche 4 décembre). Pour Frédéric Dieudonné, entraîneur de l’Aviron Club de Manosque : « La journée s’est très bien passée. Les rameurs présents ont pu réaliser leur parcours dans des conditions excellentes et tout le monde s’est prêté au jeu. Je tiens à remercier Joanna Rocha pour son investissement tout au long du week-end, afin que tout soit prêt le jour J. Mention spéciale, à Antonin, un jeune du Rowing Club de Marseille, qui a été d’une aide précieuse sur l’aspect informatique. L’ACM a de nouveau pu compter sur l’EIPACA, qui nous a mis à disposition leurs locaux, ainsi que du matériel. Nous avons eu le plaisir d’accueillir au total 10 clubs de la Région Sud, représentant 480 rameurs toutes catégories confondues, avec notamment l'Aviron Toulonnais, ainsi que la Seyne-sur-Mer qui se sont déplacés en Provence pour l'occasion. » Résultats :
Le Championnat Régional faisait également office de régate qualificative pour les Championnats de France Indoor dans la catégorie para-aviron, sport adapté. Un grand bravo à tous les participants ! Le week-end s’est conclu à Manosque par des courses sur 500m ainsi que des relais, en début d’après-midi. Rendez-vous le 29 janvier pour les Championnats de France Indoor à Paris ! Julie LEVESY, service civique auprès de la ligue sud Faire de l’aviron un moteur d’inclusion et d’accessibilité au sport ! L’association sportive de l’Avi Sourire est basée à la Base Nautique de Corbières, (à quelques kms de Marseille) et œuvre au quotidien pour permettre l’inclusion sociale par le sport, s’adressant à des personnes en situation de tous types de handicaps (mental, moteur, sensoriel ou psychique). La structure accueille un public varié dans le cadre de la pratique sportive loisir ou de compétition, ainsi que lors d’initiations pour un public d’entreprise, scolaire ou retraité. L’Avi Sourire est un lieu d’échange entre pratiquants et aidants. De cette façon, on peut y retrouver une dynamique de groupe importante, visant à privilégier le bien-être mental et physique de chacun, mais ayant également pour but l’acquisition des compétences transversales utiles à l’insertion professionnelle. Maëlle Patinaud, adhérente à l’Avi Sourire depuis 2014 : « Je fais de l’aviron depuis 8 ans et j’ai à plusieurs reprises terminée 2ème aux championnats de France indoor à Paris en PR1. L’Avi Sourire me permet de pratiquer du sport, ainsi que de bouger dans le but de ralentir la progression de ma maladie. J’en tire d’une part des bienfaits physiques et d’autre part, cela me permet d’aller à la rencontre des autres et de passer du bon temps. » 2003: l’Avi Sourire, première association française d’aviron handisport et de sport adapté voit le jour. Karina Châtel et Dominique Guende, ont été amenée à faire le constat suivant : il est à ce jour impossible pour des personnes en situation de handicap d’intégrer un club d’aviron. Elles décident donc de fonder une association, avec pour objectif de rendre le sport accessible à tous. En 2004, Karina et Dominique réalisent un premier défi, en réalisant la traversée Hyères – Calvi en double de mer, en moins de 36h. La coque ayant servie pour le défi va être dans un premier temps aménagé par Dominique, afin qu’elle soit modulable. Ce bateau pouvant donc s’adapter aux besoins de chacun, afin de pouvoir accueillir des personnes en situations de handicap. Il va par la suite être mis à disposition dans les clubs méditerranéens pour faire découvrir au grand public, les différentes possibilités que peut offrir l’aviron. C’est ainsi, que depuis ses débuts, la structure est en constante évolution.
C’est dans cette dynamique là que trois projets vont voir le jour cette année ou se poursuivre : le dispositif Sports Handi Nautique Corbière, le Corsi’Cap et d’autre part et l’accompagnement d’Alexis Sanchez pour les Jeux Paralympiques de Paris. Sports Handi Nautique Corbière: un projet soutenu par le dispositif « Impact 2024 », visant à valoriser des projets innovants, qui « font du sport un levier de progrès social et environnemental ».La volonté du dispositif est de faire découvrir différents sports nautiques au grand public. Il s’adresse à des centres, instituts, foyers, hôpitaux spécialisés et aux individuels. Parmi les activités proposées, nous pouvons retrouver de l’aviron, ergomètre, escalade, kayak, paddle, découverte aquatique et de la voile collective. Pour les 20 ans de l’Avi Sourire, se tiendra le projet Corsi’Cap en juin 2023. Le Corsi’Cap, qu’est-ce que c’est ? Cela consiste à relier en aviron et en mixité Bonifacio à Bastia. Illustré par des chiffres, ce sont 5 jours, 170km, dont 3 étapes avec escales sur terre la nuit. Ce projet sera réalisé avec 4 yoles. De ce fait, 20 personnes seront sans cesse en action (16 rameurs + 4 barreurs) et 20 autres sur les bateaux accompagnateurs, prêtes à prendre le relais. Le projet se veut inclusif et créateur de lien social. La mixité est l’un des éléments phares de ce défi, les parcours de vie singuliers de chacun étant une source de motivation supplémentaire. De cette façon, le projet est également réalisé dans une démarche éducative visant à changer le regard sur le handicap. L’Avi Sourire continue également de suivre Alexis Sanchez dans sa préparation pour les qualifications des Jeux paralympiques de Paris en 2024 en skiff PR2 para-aviron. Pour Alexis, accidenté en 2019, ce projet à plusieurs dimensions : tout d’abord une dimension sportive, avec pour objectif une qualification aux Jeux Paralympiques de Paris ; mais également professionnelle car il est actuellement étudiant en école d’ingénieur en alternance. Alexis découvre l’aviron par une approche médicale, il va par la suite faire appel à l’Avi Sourire pour l’accompagner tout au long de son parcours. Pour l’association ce projet s’inscrit dans une démarche d’accompagnement, et il se présente comme une nouvelle étape, visant à développer les activités de la structure. Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous sur le site internet de l’Avi Sourire avec une page dédiée au projet (https://lavisourire.fr/pages/jeux-paralympique-2024). En somme, on peut dire que les difficultés rencontrées lors des premières années d’activité de l’association sont moins visibles aujourd’hui, notamment grâce à l’acquisition de matériel adapté et la professionnalisation des éducateurs. Néanmoins cela n’est pas le cas partout et rend la réalisation de déplacement compliquée, car les infrastructures sont inadaptées pour des fauteuils, hémiplégiques, sports adaptés. Cela rappelle à Dominique Guende une anecdote, qui remonte à quelques années en arrière : « Un sportif en fauteuil venait s’entrainer dans son club comme à son habitude. La passerelle en bois qu’il fallait emprunter pour monter sur le ponton n’étant pas adapté, on était souvent deux pour parer les personnes en situations de handicaps. L’athlète étant un habitué me dit : « Ne t’inquiète pas Dominique, je sais faire, je vais le faire seul ! ». C’est ainsi que je le vois descendre la passerelle et prendre un virage à 180°, les roues du fauteuil sortant du ponton. Par miracle, il s’est rattrapé et a réussi à ne pas finir dans l’eau. Il est ensuite venu me voir et ce qu’il m’a dit m’a beaucoup marquée : « Tu vois, on réussit toujours à s’adapter ». Le chemin vers l’acception est en encore long et le développement de la fédération handisport et aujourd’hui plus qu’une nécessité. Les différents clubs de la Région Sud sont très impliqués dans le développement du Handi-Aviron/ Handi-Aviron Adapté avec notamment : Saint Cassien, SN Monaco, la Seyne-sur-Mer, SN Avignon, RC Toulon, CMS Aviron Marignane, Rowing Club de Cannes-Mandelieu, CNPA Peyrolles ainsi que le RC Marseille. La ligue compte actuellement deux clubs labélisés « Aviron et Handicaps » : l’Avi Sourire et l’Aviron Club de Manosque. Cela fait de la Région Sud, la région la plus développée en France avec 73 licences FFA/FFSA en 2022 et de nombreux rameurs en Équipe de France chaque année, comme par exemple Rémy Taranto, président du Rowing Club de Marseille. Julie LEVESY, service civique auprès de la ligue sud |
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Juillet 2024
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aVIRON SUD-PACA |
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